• Egalité des droitsMariage pour tous et pour toutes

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    16 décembre 14 h : manifestation Paris Bastille

    Le Front de Gauche appelle à se mobiliser massivement sur la Manifestation pour l’égalité de dimanche 16 décembre à Paris (départ Bastille, 14h - direction Opéra) et sur tous les rassemblements qui ont lieu en régions ces jours-ci, afin d’affirmer l’universalité de l’égalité des droits pour les lesbiennes, gays, bisexuel-le-s et transgenres (LGBT), dans notre projet d’émancipation de la société.

     

    Le Front de Gauche demande d’inclure dans la future loi :

     l’adoption conjointe hors mariage, notamment dans le cadre du PACS

     ➜ la signature en mairie de tous les contrats de couples (le PACS comme le mariage) 

     ➜ les mêmes droits pour tous les enfants à la filiation avec l’ensemble de leurs «parents sociaux» 

     ➜ la procréation médicalement assistée (PMA) pour toutes les femmes ayant un projet parental

     ➜ le changement d’état civil libre et gratuit pour les personnes transgenres 

    Couples, adoption, PMA, état-civil…L’Égalité n’attend plus !

    Le Front de Gauche appelle à se mobiliser pour l’égalité des droits et mettre fin aux discriminations à l’encontre des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles ou transgenres (LGBT).

    Un combat pour l’émancipation

    Le combat pour l’égalité des droits, sans discrimination d’orientation sexuelle ou d’identité de genre, concerne chacune et chacun d’entre nous. Il s’inscrit dans la lignée des combats historiques et des conquêtes d’émancipation sociale, qu’il s’agisse du droit de vote universel pour les femmes, le droit à disposer de son corps et l’IVG, la fin de toute pénalisation de l’homosexualité en 1982 ou l’adoption du PACS en 1999. Il s’inscrit aussi dans les combats actuels dans lequel s’engage le Front de Gauche contre toutes les discriminations : contre le sexisme et pour le droit des femmes, contre le racisme et pour ledroit au séjour des sans-papiers et le droit de vote des résidents étrangers. S’émanciper, c’est devenir libre et acquérir les moyens de s’épanouir. Lire la suite

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    Dans la région Nord-Pas de Calais, le socialiste Michaël Moglia, président de la commission des finances régionale, a annoncé jeudi 29 novembre, en séance plénière du conseil régional, sa démission du groupe et du parti socialiste.

    Il justifie sa décision par l'accumulation des "reculs, abandons et renoncements" du gouvernement, et son opposition à la politique d'austérité.

    Ci-dessous la lettre ouverte adressée à Harlem Désir, où il explicite sa décision :

    « Pourquoi je quitte le PS » : lettre ouverte à Harlem Désir

    6déc

     

    Cher camarade, cher Harlem,

    Dans la nuit du 6 au 7 mai dernier, tu étais aux côtés de François Hollande sur l’immense scène installée place de la Bastille. Cette nuit-là, tu as senti l’espérance d’un peuple de gauche venu défier les appels presque unanimes à la résignation. Tu as vu ces dizaines de milliers de Françaises et de Français dont l’enthousiasme était une demande : celle que les Socialistes, revenus au pouvoir, parviennent enfin à changer la vie.

    Je n’étais pas avec vous à Paris. J’ai fêté la victoire auprès de mes camarades dans le Nord. Mais déjà, cher Harlem, je n’y croyais plus beaucoup… Est-ce parce que nous avions déjà trop souvent déçu les nôtres ? Me doutais-je que nous nous apprêtions à le faire de nouveau, peut-être plus rapidement et plus brutalement que jamais ?

    Je suis entré au PS à l’âge de 17 ans. La figure tutélaire de François Mitterrand, le poing et la rose, le combat contre les forces de l’argent, les 110 propositions : jeune militant, je revendiquais fièrement cet héritage.

    Même lorsqu’il s’est éloigné de ses valeurs, j’ai continué de croire mon Parti capable de rénovation. Grâce à notre démocratie interne, la prise en compte des différentes sensibilités, l’écoute mutuelle, la camaraderie (notion aujourd’hui disparue), il me semblait possible d’ancrer à gauche notre ligne politique.

    J’ai la tristesse mais enfin la lucidité, après vingt-trois années de militantisme, dont neuf au sein de la direction nationale du PS, de constater que je me suis trompé. Désormais je comprends à quel point les dirigeants du Parti Socialiste s’accommodent cyniquement d’avoir une aile gauche pesant en moyenne 15% lors des scrutins internes. Des personnalités telles qu’Henri Emmanuelli et Benoît Hamon autrefois, ou telles qu’Emmanuel Maurel aujourd’hui, ont simplement permis de maintenir, en façade tout au moins, l’image d’un vrai parti de gauche. Tel est le rôle d’Arnaud Montebourg au Gouvernement ; tel a été mon rôle dans le Nord. À un parti en pleine dérive idéologique, il fallait ses « idiots utiles ».

    Depuis mai, sous le regard d’une Bastille incrédule, qui avait tant besoin de retrouver la foi dans le progrès social, François Hollande et le Gouvernement n’ont fait que reculer… sous les applaudissements de l’appareil socialiste.

    Te souviens-tu seulement du projet que nous avons porté ensemble ?

    Dès 2010, Benoit Hamon voulait substituer au mythe gentillet et creux de « l’égalité des chances » un retour à l’objectif historique de la gauche : l’égalité réelle entre tous les citoyens. Pour ce faire, il proposait une batterie de mesures sociales et sociétales ambitieuses.

    Bien qu’ayant refusé d’adhérer à ce catalogue de mesure lorsqu’il était candidat aux primaires, François Hollande en avait finalement reprises plusieurs dans son programme présidentiel : le système d’attestations lors des contrôles d’identité, souvent vécus comme discriminatoires, l’encadrement strict des dépassements d’honoraires des médecins, le droit de vote aux étrangers pour les élections locales, la limitation des écarts de salaire de 1 à 20 dans les entreprises publiques. Sur chacun de ces sujets, le Gouvernement de Jean-Marc Ayrault a soit renoncé purement et simplement, soit reporté les réformes sine die, soit affadi leur contenu jusqu’à les rendre inutiles.

    La liste des reculades, des incohérences et des échecs ne s’arrête malheureusement pas là. Le Gouvernement a renoncé à exiger le non-cumul des mandats dès 2012, malgré les engagements pris et signés par l’ensemble des parlementaires socialistes. La loi sur le logement social a été retoquée par le Conseil Constitutionnel pour vice de procédure. On a laissé entendre aux Maires qu’ils seront libres de ne pas appliquer la loi sur le mariage pour tous. La TVA Sarkozy, dite « sociale », décriée à juste titre pendant la campagne électorale, est revenue sous une autre forme à l’occasion de la remise du rapport Gallois. Enfin, on devine que le projet — pourtant central dans le programme de François Hollande — d’une « grande réforme fiscale » ne sera probablement jamais mis en œuvre pendant le quinquennat.

    Certains choix semblent traduire le reniement de nos convictions les plus profondes. Malgré le courage et l’obstination de la Ministre Aurélie Filipetti, le Gouvernement a choisi de diminuer le budget de la culture. Ce serait grave en temps normal ; c’est catastrophique en temps de crise, car je reste persuadé que l’Art est le premier outil de combat — ou d’évasion — lorsque tout va mal.

    La seule ligne directrice du Gouvernement porte un nom : l’austérité. Elle porte aussi un chiffre, comme une prison intellectuelle : 3%.

    La droite n’a jamais tant aimé le PS ; Manuel Valls est plus que jamais sa coqueluche. Elle qui craignait tant François Hollande avant son accession au pouvoir, finirait presque par le trouver exemplaire de courage et de modernité !

    Si nous en sommes là aujourd’hui, c’est par l’enchaînement d’une série de fautes que vous avez commises, main dans la main avec la droite, au sujet de l’Union Européenne. Vous n’avez tiré aucun enseignement de la large victoire du non au traité constitutionnel européen de 2005. Pour moi, ce décalage entre les dirigeants et la base électorale du Parti a été un premier motif d’interrogation et d’embarras.

    Le second a été la promesse faite par François Hollande de renégocier le traité Merkel-Sarkozy. Et quelle renégociation ce fut ! Le Président de la République a trouvé le prétexte d’un « pacte de croissance » indolore et inopérant pour se rallier — ni vu ni connu, pensait-il sûrement — à la « règle d’or ».

    En réalité, dans l’Europe que vous êtes en train de construire, ou dont vous acceptez passivement les règles du jeu, les Etats n’ont pas et n’auront bientôt plus aucune marge de manœuvre.

    Les politiques européennes pèsent sur le budget de l’Etat. Et puisque les collectivités territoriales, privées de leur autonomie fiscale, vivent essentiellement de dotations de l’Etat, elles doivent désormais rogner sur leurs politiques, y compris lorsqu’elles relèvent de l’urgence. Dans les Départements, c’est la santé et le social qui sont touchés. Dans les Régions, c’est l’emploi, la formation.

    Voilà pourquoi, Président de la Commission des Finances du Conseil Régional Nord-Pas de Calais, je ne peux pas cautionner la poursuite annoncée des baisses de dotations d’Etat aux collectivités, après l’avoir dénoncée sans relâche pendant les cinq années de mandat de Nicolas Sarkozy.

    Ayant renoncé à transformer l’économie, les Socialistes pourraient encore se distinguer des libéraux et des conservateurs en s’intéressant à cette « France invisible » — celle que personne ne veut plus voir.

    Cela a été dit et répété : le PS a oublié les ouvriers. Mais pas seulement eux. Au fond, vous partagez le diagnostic de Laurent Wauquiez : un parti de gouvernement doit s’adresser aux « classes moyennes » (car au moins elles votent). Les chômeurs, les précaires, les toxicos, les taulards, les prostitués, les paysans, les mères célibataires, les surendettés, les malades, les psychotiques, les handicapés, les sans-abris : les exclus de tous poils et les onze millions de pauvres qui vivent en France ne comptent pas, ou si peu.

    Il faut d’urgence prendre des mesures fortes et symboliques. En 1981, ce furent les 39 heures, la retraite à 60 ans, la cinquième semaine de congés payés, l’abolition de la peine de mort, l’autorisation des radios libres… Que propose le PS aujourd’hui ? Le droit au mariage pour les couples homosexuels, pudiquement rebaptisé « mariage pour tous », est un pas dans le bon sens. Mais cette mesure seule ne suffira pas à apporter à la France la bouffée d’oxygène dont elle a tant besoin !

    De deux choses l’une. Soit il n’y a qu’une seule politique à mener, que l’on soit de gauche ou de droite, et dans ce cas le PS s’est moqué des Français pendant dix années d’opposition, plus particulièrement pendant une campagne électorale toute entière axée autour de la promesse du changement (« maintenant ! »).

    Ou alors une autre politique est possible, et dans ce cas qu’attendez-vous  pour changer de stratégie ? Pour engager un réel dialogue avec les partenaires de gauche et retrouver le « talisman » de l’union, auquel François Mitterrand n’avait jamais renoncé  ? Oserez-vous faire ce choix, ou bien donnerez-vous raison à ceux qui ont vu dans la discrète réception d’élus Modem à l’Elysée, il y a quelques jours, l’amorce d’un renversement d’alliance avec le centre-droit ?

    J’ai le regret, cher Harlem, de quitter aujourd’hui le Parti Socialiste. Je le fais avec une grande tristesse mais aussi, en optimiste obstiné, avec l’espoir que vous retrouverez un jour la voie de la raison et le courage d’être de gauche.

     

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    DE LA MATERNELLE À L’UNIVERSITÉ,

    PARTAGER LES SAVOIRS

     

    Nous combattrons la mise en concurrence des établissements et reviendrons sur toutes les mesures qui visent sous couvert d’autonomie à instituer un marché de l’éducation.

    Nous affirmons la nécessité d’une politique nationale de l’éducation dans une logique de service public, pour une véritable gratuité et égalité d’accès aux savoirs sur tout le territoire. Nous agirons concrètement pour que la production de connaissances et la formation soient libérées de la logique du marché et de la rentabilité financière et permettent l’établissement d’une culture scolaire commune pour tous par l’appropriation de savoirs ambitieux. 

    Nous construirons une école émancipatrice qui permette l’élévation pour tous du niveau des savoirs acquis et des qualifications reconnues.

    Pour ce faire, nous allongerons le temps scolaire : droit à la scolarité

    dès 2 ans, scolarité obligatoire de 3 à 18 ans. Pour combattre son éclatement, nous reconstruirons une école qui élève pour toutes et pour tous le niveau des connaissances communes et prépare les élèves — par des pédagogies adaptées à chacun — à poursuivre leurs études jusqu’à 18 ans et le plus possible au-delà du lycée.

    Nous repenserons la progressivité entre les niveaux d’études, tout en conservant le cadre des disciplines.

    Nous redéfinirons les programmes, et plus globalement l’école, en prenant comme point de référence l’élève qui n’a que l’école pour apprendre.

    Le soutien scolaire sera assuré par le service public de l’Éducation nationale.

    Nous soutiendrons la relance de la recherche en éducation, le développement de la formation initiale et continue, et la création de temps d’échanges pédagogiques dans les établissements.

    Nous lancerons un plan de lutte contre les inégalités sociales à l’école.

    Nous mettrons en place des observatoires des inégalités rassemblant dans les territoires des élus, des parents, des enseignants, l’ensemble des personnels de l’Éducation nationale et des élèves à partir du collège ainsi que des personnalités associées. Les représentants des personnels constitueront 50 % de ces observatoires.

    Nous soutiendrons les projets des communautés scolaires qui créent les conditions d’une vie d’établissement contribuant à la réussite des élèves. Nous rétablirons une nouvelle sectorisation scolaire avec plus de moyens pour les établissements qui en ont le plus besoin.

    Nous stopperons les suppressions de postes et engagerons un plan de recrutement dans l’Éducation nationale sous statut de la fonction publique d’État rétablissant, notamment, tous les postes supprimés.

    Nous développerons le pré-recrutement des enseignants pour que cette profession reste accessible à tous les milieux sociaux, quel que soit le niveau de recrutement. Nous rétablirons les postes de conseillers d’orientation-psychologues et procéderons à des recrutements pour que tous les jeunes aient accès au service public d’orientation.

    Les Réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté (Rased) seront

    rétablis dans leurs moyens.

    L’investissement de l’État dans l’enseignement professionnel sera augmenté de 50 % pour que les enseignements techniques, professionnels et généraux soient d’égale qualité.

    Nous garantirons le droit à une qualification égale pour ceux qui ont suivi une même formation : défense du cadre national des diplômes grâce au rétablissement des missions du Cneser, validation de toutes les années d’études dans les conventions collectives.

    Pour l’enseignement supérieur et la recherche, nous engagerons rapidement la reconstruction du service public dans ses missions prioritaires, pour l’égal accès au savoir de tous les jeunes, quels que soient leur lieu d’habitation, les revenus et le milieu socioculturel de leur famille, ainsi que pour l’accueil des étudiants étrangers qui le souhaitent dans une vision non marchande de contribution au développement et à la coopération entre les peuples.

    Nous voulons élargir à toute la société les possibilités d’accès aux formes les plus élaborées du savoir scientifique et permettre à tout(e) étudiant(e) d’aller au bout de ses possibilités, avec le souci permanent de la validation des parcours et des acquis. Parce que « l’électricité n’a pas été découverte en cherchant à améliorer la bougie », la marchandisation du savoir prônée par la stratégie de Lisbonne sera combattue et la coopération entre les services publics de l’enseignement supérieur au niveau européen sera défendue et élargie. La France agira pour soustraire les services publics de recherche et d’enseignement supérieur au champ de négociation de l’OMC. Nous abrogerons la loi LRU et le « Pacte pour la recherche ». La conférence des présidents d’université ne pourra plus se substituer aux instances démocratiques dans la définition des politiques universitaires. Nous supprimerons l’Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (AERES), qui juge la production scientifique sur des critères de diffusion qui, au final, sont de nature marchande, et ne permettent de juger ni de la qualité d’un article, ni de celle du support qui le reçoit.

    A la place de ce système libéralisé et autocratique, nous mettrons en chantier une nouvelle loi qui s’appuiera sur les travaux d’Assises de la recherche réunies dès le début du mandat, nous démocratiserons les conseils d’administration des universités et des organismes de recherche.

    La totalité des personnels, des chercheurs et des enseignants-chercheurs pourra intervenir en amont des décisions.

    Le CNRS, comme l’Inserm, seront rétablis dans la diversité de leurs disciplines et leur vocation de pôles publics de la recherche, au service de toutes les sciences et dans leurs missions de prospective et d’évaluation ; leurs instances retrouveront la plénitude des missions d’orientation de la recherche fondamentale.

    Les personnels de la recherche publique verront leur indépendance intellectuelle assurée.

    Nous garantirons le droit effectif de tous les enseignants-chercheurs à exercer une activité de recherche. Un nouveau statut du doctorant sera élaboré en étroite collaboration avec les organisations et associations qui les regroupent. Les missions de coopération internationale seront partie intégrante des services des enseignants-chercheurs.

     Les travaux des chercheuses et des chercheurs seront évalués par leurs pairs, sur la base de leur travail de recherche et non sur des publications d’articles dans des revues pré-sélectionnées. Cette évaluation sera le fait d’instances majoritairement élues avec la garantie de la représentation de l’éventail des disciplines et de tous les courants de pensée.

    Le droit de recours sera effectif. Les « labellisations », outils de discrimination, comme les «initiatives d’excellence » (Idex) ou « les laboratoires d’excellence » (Labex), seront abandonnées.

    Dans le domaine de la recherche également, la RGPP sera stoppée et un plan de rattrapage de l’emploi sera mis en place au profit exclusif de l’emploi permanent titulaire.

    Le principe de la progression de la carrière pour chacune et chacun sera rétabli ; nous abandonnerons les primes « au mérite ».

    L’effort budgétaire public pour l’enseignement supérieur sera porté à 12.000 euros par an et par étudiant(e).

    Nous doublerons le budget public de la recherche sur la législature. Ainsi, les moyens publics de la recherche seront garantis ; l’apport de contributions privées sur la base de principes d’intérêt général sera possible, sans jamais se substituer au financement budgétaire public. Les fondations, vecteurs d’assujettissement à des financements précaires et opaques, seront abandonnées.

     Les financements de la recherche seront réorientés pour permettre le financement stable et récurrent des laboratoires et des équipes à hauteur de 70 % au moins. Les subventions « sur projet », qui sont celles principalement allouées aujourd’hui par l’Agence nationale de la recherche, deviendront complémentaires.

    L’ANR sera transformée en FPSE (Fonds public de soutien aux projets émergents) et interviendra exclusivement sur les projets « blancs », émergents, non déjà pris en compte par ailleurs.

     

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